Les ruines de la forteresse et les chapelles rurales de Dvigrad
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Nous n'avons pas visité ces monuments. Les images de cette
page sont extraites de galeries d'Internet. Certaines de ces
images ont été obtenues sur le site Patrimoine
Culturel de l'Istrie, créé par Ivan Matejci, et ce,
uniquement pour les besoins de notre recherche.
La citadelle de Dvigrad
L'image 1 est une
vue satellitaire de mauvaise qualité de la cité abandonnée
de Dvigrad. Il est difficile d'y repérer l'église de cette
ancienne cité (nous n'avons pas de plan de cette ville
trouvée par hasard sur Internet).
Sur l'image 2, ce qui semble être
l'arc triomphal d'une église, apparaît au second plan. Par
contre, les restes d'une église à nef triple et piliers
rectangulaires sont bien visibles sur l'image
3. Cette église est vue en direction du sanctuaire
idéalement situé à l'Est. Il s'agit sans doute de la même
église mais cette fois-ci, vue en direction du Nord-Ouest (image 4). Une partie du
mur gouttereau Nord du vaisseau central est visible. Les
piliers sont à plan rectangulaire. Les arcs reliant les
piliers sont en plein cintre et à un seul rouleau. Tout cela
est caractéristique d'une grande ancienneté. Selon Google
Maps, cette église installée dans les ruines de Dvigrad
serait dédiée à Sainte Sophie.
Les images 5, 6, et 7
sont celles de sculptures trouvées lors de fouilles de cette
église Sainte-Sophie, en dépôt dans le Musée Archéologique
de Pula.
Sur l'image 5, on peut voir, outre
un petit échassier, une sirène à deux queues. Le visage de
la sirène est encadré par deux longues nattes. Cette
représentation qui fait coexister deux thèmes, la Sirène et
la Femme à deux nattes a déjà été identifiée dans plusieurs
endroits de l'Ouest de la France, soit à plus de 1000 km de
Dvigrad.
Le bas-relief sculpté de l'image
6 (détail sur l'image
7) est un linteau surmontant un arc d'entrée dans
un chancel ou l'élément d'un ciborium. Il est décoré d'un
feuillage. Au sommet est représentée la « Main de Dieu ». La
forme cette main (index et majeur dressés, autres doigts
repliés) est différente de celle que l'on voit plus à
l'Ouest, en France ou en Italie.
À proximité de la cité en ruines de Dvigrad, on peut voir
une chapelle dédiée à la Vierge Marie (image
8). Des fresques très dégradées datant probablement
du XVIe siècle décorent l'intérieur (image
9).
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Image 1
Les ruines de la forteresse de Dvigrad.
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Image 2
Les ruines de la forteresse de Dvigrad.
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Image 3
Les ruines de la forteresse de Dvigrad.
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Image 4
Les ruines de la forteresse de Dvigrad.
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Image 5
Bas-relief de la chapelle Sainte-Sophie de Dvigrad déposé au musée archéologique de Pula.
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Image 6
Bas-relief de la chapelle Sainte-Sophie de Dvigrad déposé au musée archéologique de Pula.
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Image 7
Bas-relief de la chapelle Sainte-Sophie de Dvigrad : détail de l'image 6.
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Image 8
Chapelle Sainte-Marie de Dvigrad.
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Image 9
Chapelle Sainte-Marie de Dvigrad ; fresques.
Datation
envisagée
Pour l'église Sainte-Sophie de Dvigrad (en ruines) : an 800
avec un écart de 100 ans.
Pour la chapelle Sainte-Marie près de Dvigrad : an 1100 avec
un écart de 100 ans.